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L'«admission provisoire» qu’offre la Suisse à des réfugiés originaires de pays en guerre civile est une absurdité. Les conflits en Afghanistan, en Syrie ou en Somalie durent depuis des années et, dans la plupart des cas, un retour n’est pas envisageable.

Pourtant, des personnes comme Nuri Firuzkuhi d'Afghanistan ne bénéficient d’aucun statut de protection, même lorsqu’elles ont été confrontées personnellement aux effets dévastateurs de la guerre civile. Au lieu de cela, elles vivent des années durant dans l'incertitude, peinent à s’intégrer et ne bénéficient que difficilement du regroupement familial.

Je dis OUI à une Suisse ouverte et je veux aider des personnes comme Nuri. Avec elles, avec vous, avançons ensemble.

Avec mon don, je soutiens le travail que mène l’Organisation suisse d’aide aux réfugiés auprès du public, des politiques et des autorités en faveur d’une politique d'asile équitable et humaine.